Video : "Au loin la côte" Bastien Lallemant
Second clip pour l'excellent album "La Maison Haute' de Bastien Lallemant.
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Second clip pour l'excellent album "La Maison Haute' de Bastien Lallemant.
Titre extrait de "Extravagant, Grotesque & Nonchalant" toujours disponible sur bandcamp.
Artiste suédoise à multiples facettes, Sara Forslund vient de réaliser un premier album solo "Water Became Wild" à découvrir impérativement non seulement pour ses atmosphères musicales, son interprétation mais aussi pour l'écriture des textes de ses chansons. Elle a d'ailleurs déjà publié un recueil de textes poétiques et on pourra apprécier certains de ses poèmes sur son blog (à condition de lire la langue ou d'être armé d'un bon dico et d'une bonne dose de patience).
C'est le magnifique "Stay Love" qui ouvre cet opus. Tout est déjà annoncé : ici le minimalisme prévaut, seul compte chaque mot, chaque note, chaque inflexion du chant, chaque instrument. Pas de place pour les fioritures. Chaque élément combiné aux autres pour former cette harmonie, cette couleur unique.
Suit la chanson qui donne son nom à l'album : "Water Became Wild". Un titre somptueux dans toutes ses composantes avec des arrangements sublimant un texte bouleversant. Mais les moments de grâce ne s'arrêtent pas avec "Did You Ever". Ces trois premiers titres constituent déjà une raison largement suffisante pour que cet album soit une des plus belles découvertes de cette année. Mais cet opus recèle bien d'autres bijoux : "Twisted Wind" par exemple, chanson d'une grande délicatesse, un instant magique. "Time to Collect" clôt l'album avec ces orchestrations toujours d'une grande élégance, d'une grande pureté. On se surprend à être encore rêveur, presque dans un instant d'apesanteur, plongé dans les ambiances envoûtantes de Sara Forslund. Une des plus belles découvertes de cette année.
Duo composé de Hatty Taylor et de Nigel Firth, Vienna Ditto propose un nouvel album réjouissant. Le chant de la première mariée à la guitare du second vous entraînent dans des ambiances aux multiples influences : blues, rock... Un titre tel "I Know His Blood" montre combien ce duo est d'une redoutable efficacité. Un disque disponible sur bandcamp, à découvrir sans attendre.
J'ai présenté le dernier album "Daughter of the Sea" de House of Wolves il y a quelques jours. Voici que je découvre que l'artiste lance une campagne de soutien avec Microcultures pour réaliser une version vinyle de son second album. Alors pour tous ceux qui ont apprécié les chansons en streaming et qui aiment faire tourner une galette, vous pouvez contribuer sur cette page . Il y a de sympathiques paniers pour toutes les bourses à partir de 9 €.
Allez pour vous tenter, le titre qui donne son nom à ce nouvel opus.
Menu du jour :
Petites Gambas flambées au Cognac
Moules à la coriandre
Grenaille sautée
Fraises et Chantilly maison à la grenadine
Café accompagné de la chanson "Water Became Wild" de Sara Forslund, extraite du premier album paru en 2015. J'aurai l'occasion de revenir sur ce premier opus de la chanteuse suédoise.
J'avais signalé en d'autres lieux le premier album que Rey Villalobos avait publié sous le nom de House of Wolves en 2011. Le second opus qui sera suivi d'un troisième cette année est dans la lignée du premier mais peut-être d'une force évocatrice encore plus forte.
Il y a toujours cette voix qui flirte en permanence avec la fêlure, au timbre équivoque et qui procure cette couleur androgyne assez unique, toujours ces ambiances presque minimalistes, ces compositions avec piano, guitare et cette beauté fragile.
Cette fois-ci, l'album ne comporte que 8 titres mais ils suffiront à enthousiasmer tous ceux qui apprécient ces atmosphères. Rey Villalobos que cela soit au piano, à la guitare ou au chant excelle à nous entraîner dans des contrées que nous ne voulons plus quitter.
Des chansons magnifiques telles "One", "Martians", "Take Me to the Others", "Daughter of the Sea" qui donne son nom à l'album et puis "Beautiful Things" qui ouvre l'un des opus les plus bouleversants de l'année. L'album est disponible sur bandcamp.
Cette ballade fut enregistrée par Black Sabbath dans leur troisième album studio "Master of Reality" en 1971. Tony Iommi, un des guitaristes légendaires du heavy metal, y jouait de la flûte.