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Je me souviens avoir décidé d'acheter le premier opus de The Wooden Wolf immédiatement après avoir écouté quelques secondes du premier titre. Sans rien savoir de l'artiste qui se cachait derrière ce nom, j'avais été immédiatement conquis. J'avais d'ailleurs chroniqué "14 ballads Op.1" en d'autres lieux et signalé chaque nouvelle sortie. Un nouveau disque d'Alex Keiling intitulé "Moonlight Serenades Op.4" est annoncé en 2015. A l'écoute de ce superbe titre, j'attends avec impatience la suite. On appréciera aussi le clip tourné en super 8mm.
Les albums de The Wooden Wolf sont disponibles sur sa page bandcamp.
Il fallait un superbe clip pour cette chanson du nouvel album "La Maison Haute" de Bastien Lallemant, l'un de mes préférés de ce début d'année. Voici le film animé qui a été réalisé par Charles Berberian et Thomas Pons et c'est une bien belle réussite à l'image de l'opus.
Je vous avais présenté en janvier 2015 le très bel album "Undervattens himmel" de Dyl & Petra, duo suédois et français. Voici une nouvelle chanson en téléchargement gratuit .
Le premier album de Jenny Lysander portera le même nom que cette chanson dévoilée il y a quelques jours. Le nouvel opus est en pré-commande sur la boutique de Beating Drum Records. Un autre titre est alors proposé en téléchargement. J'avais présenté le premier et très bel EP "Lighthouse" dans une chronique en 2014.
Cela faisait quelque temps que je n'avais pas évoqué de musique scandinave. Voici le retour d'Elina Johansson (Dear Euphoria) en version solo sous le nom d'Eli Na. Un premier single annonce la parution d'un EP "Nature is my Mother now" de quatre titres. A suivre.
Cette semaine, plutôt que d'évoquer le nouvel album "Eléor" de Dominique A qui va, à coup sûr, faire l'objet de nombreuses critiques (élogieuses ?) dans les magazines et webzine spécialisés, je préfère évoquer d'autres sorties qui bénéficient de beaucoup moins de promotion et nous réservent d'agréables instants.
N'ayant pas encore reçu le vinyle du second album d'Orso Osenska que j'attends avec impatience et qui me semble beaucoup plus intéressant et délicat que celui du désormais consacré numéro 1 des auteurs/compositeurs par certains critiques (ah les classements ont la vie dure !), c'est donc avec le second album d'Alice Lewis que j'inaugure cette semaine de mi-mars où la lumière du printemps qui s'annonce, joue de plus en plus avec le calcaire des façades de la ville où je vis.
Si l'on semble osciller entre lumière et abîme dans ce nouvel opus, il y a, quel que soit le style des titres, un rayon lumineux : la chant d'Alice Lewis déjà découvert dans son premier album "No One Knows We're Here". Ceux qui ne s'arrêteraient qu'au titre obsédant "Ignorance Is Bliss" auraient une image bien réductrice de ce disque raffiné, varié et mariant cordes, electro, arpèges de guitare...
Si les arrangements et la production témoignent d'une grande maîtrise pour tous les titres ("Perfect Stanger" est un régal), c'est peut-être dans des chansons telles que "The Drought", "The Statue", "Where Do We Go Now" ou "Belbuoy" qu'Alice Lewis me semble atteindre des sommets.
Un album à découvrir patiemment et qui s'avère passionnant.