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Depuis au moins 2 ans, j'écoute régulièrement les chansons que la jeune australienne Imogen Jones (Lupa J) met en ligne : de ses premières démos à son nouvel EP "My Right Name" paru ce mois-ci que j'aurai l'occasion d'évoquer prochainement. Au risque de surprendre certains de mes lecteurs, j'aime fureter du côté de ce que produisent de jeunes voire très jeunes musiciens qui ne sont pas toujours dans le "style" habituel des artistes que je mentionne le plus souvent. Il m'est arrivé par exemple de présenter des morceaux de dubstep tel celui de LukeKeysProd. Ces jeunes compositeurs, auteurs seront peut-être reconnus dans quelques mois ou années. Le plus souvent, ils bénéficient d'une solide formation de musicien, ont écouté de multiples prédécesseurs et utilisent les outils techniques de l'époque au service de leurs intentions tout en combinant des influences multiples.
Imogen Jones est violoniste de formation, a produit, réalisé ses vidéos, écrit les textes de ses chansons et en composent la musique. Celle-ci est la première dont la direction est entièrement confiée à une autre personne. On notera l'évolution vocale de cette jeune artiste qui me semble de plus en plus à l'aise en ce domaine peut-être grâce à l'expérience acquise grâce aux concerts.
De multiples influences viennent nourrir cet album découvert un peu par hasard. En fait, c'est la voix chaude d'Alice Night qui m'a sans aucun doute séduit dans un premier temps en écoutant les deux premiers titres de son album : "Brave" puis "Don't Forget That You Were Born".
En écoutant la suite de cet opus réalisé en collaboration avec le compositeur Robert Davidson, on y découvre de très beaux titres dont "Curious Child" ou "Brains In Their Claws" où la chanteuse déploie toute sa palette.
L'été s'est installé. Pendant ces quelques semaines, quelques unes de mes chansons préférées ou les plus écoutées de ces dernières années. Un choix effectué au hasard parmi mes différentes playlists annuelles présentes sur mes deux machines à fichiers qui m'accompagnent bien souvent.
Pour débuter, "Magic Doors" extraite de "Third", album paru en 2008. Écoutée ce matin, vers 7h30 en marchant dans les rues quasiment désertes et silencieuses avant d'emprunter le train.
Pour tout : son ouverture, cette voix qui s'élève, ce chant dans la retenue et d'une intensité exceptionnelle, sa composition.
Je n'ai pas adhéré d'emblée au nouvel album de PJ Harvey. Certains titres ne m'ont pas complétement convaincu. Pourtant les critiques élogieuses n'ont guère manqué, trop peut-être. N'empêche, cet inédit "Guilty" qui ne figure pas sur le dernier opus est sacrément addictif.