En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Rien que pour s'évader, avoir le sentiment de flotter dans l'air, être un oiseau, sentir le vent, se laisser bercer par cette voix, ce chant et ces mélodies enveloppantes.
Rien que pour enlacer tendrement entre nos bras celle, celui, ceux que nous aimons.
On ne dira pas assez combien La Souterraine est devenue indispensable dans le paysage musical français. Loin des formats convenus, grâce à ce label, des pépites qui n'auraient eu probablement aucune chance d'être écoutées dans ce monde du prêt-à-consommer industrialisé où la répétition du même habilement enjolivée par quelques artifices sert de pensée.
La Souterraine nous offre par cet album de 13 titres la possibilité de (re)-découvrir, si nous n'en étions pas déjà certains, combien les textes de Léo Ferré sont contemporains. Il suffira d'écouter le premier des titres de cet opus pour être convaincu du caractère indispensable de ces propositions pour qui veut comprendre combien une nouvelle génération d'artistes s'est saisie de la poésie de Ferré, de sa nécessité.
Rien qu'à l'écoute de sa voix - je ne sais pourquoi et je ne cherche pas à le savoir - une onde de frissons s'empare de mon corps. Anna Ternheim est de retour avec un nouvel opus de huit titres.
Aller à l'essentiel, épurer, surprendre, ouvrir des perspectives, ne pas se contenter de répéter, tracer sa voie.
Susanne Sundfør est de ces artistes que j'écoute depuis ses débuts.
Encore et toujours elle me surprend, me séduit, m'emporte, me transporte.
Toujours cette voix, ce chant et pourtant encore et toujours comme à chaque fois une redécouverte.
Tout de cet album "Music For People In Trouble" est à déguster. Dès l'ouverture de cet opus par "Mantra", une évidence, un compagnon de cette année, un de ceux que l'on écoute et réécoute, un de ceux où à chaque fois on découvre un détail, une note, un passage, un mot, un silence qui vous le rend essentiel, incontournable.
Impossible de choisir un titre. Tout est à écouter. Alors une sélection arbitraire pour donner envie d'aller s'y plonger.